vendredi 1 avril 2011

L'ami Critz


En ce jour mémorable du 25 mars 2011, menés par le terrible Colin O'conor, sheriff de deadcity, munis de leur plus beaux poils bleus et collants rouges, les Fanfaraons, fidèles à la tradition, se sont lancés à l'assaut de Paris, une bourgade de 10 millions d'âmes




Parce qu'ils n'avaient pas peur de jouer trente fois d'affilée Hot Stuff, parce qu'ils ne craignaient pas la tiédeur de la bière, mais aussi par amour du sport, ils bravèrent l'arrogance parisienne et la saleté lilloise pour soutenir Lyon dans les sports nobles, du foot à la pétanque, du volley au basket.

Après une première journée réussie, et un accueil très chaleureux, ils supportèrent vaillamment leurs amis footeux qui triomphèrent du bandit Parisien.

Et parce qu'ils n'étaient pas là pour être ici, ils jouèrent au saloon "Lou Pascalou", en compagnie de l'excellente Brass'ta roquette, avant de retourner quelques métros et la place Beaubourg avec leurs amis de sciences po bordeaux, la déBanda'de.


Après une opération stickage de sciencepo-point, et un concert sur le pont des arts, il était temps de rentrer dans la ville des lumières (la vraie!).
Le bilan avoisine celui des rugbymen : une tendinite au pouce de notre clarinettiste, des grosses caisses à retendre, une peau de caisse claire trouée et un piston de tuba abimé !

Il en faudra tout de même plus pour faire capituler la fanfaraon, la fanfare de l'extrême.